169 research outputs found

    Management Tools for RetD Project Portfolios in Complex Organizations – the case of an international pharmaceutical firm

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    Project Portfolio Management (PPM) is a growing issue in both professional and academic circles. The typology of Cooper et al. (1998) has pictured the variety of PPM formalized approaches into four types (financial, strategic, scoring and “bubble diagram”). While the use of formalized methods by top performers is clearly attested, the choice of a specific approach and the precise benefits and limits of different instruments are still in debate. The present paper formalizes more precise contingency hypotheses between PPM practices and organizational variables such as R&D strategy, the structure and history of a firm's development, partnership policy and learning track in the project domain. Where managerial implications are concerned, the paper puts forward an analytical framework for the adjustment of portfolio instruments to fit specific situations and develops the conclusions of that framework for an international pharmaceutical group, Merck Lipha. The research underlying this paper adopts an interactive and experimental case-based methodology which has been on-going since 1997.Project; portfolios; pharmaceuticals; decision; processes; interactive research

    Exhaustion of bacteria-specific CD4 T cells and microbial translocation in common variable immunodeficiency disorders.

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    In the present study, we have investigated the functional profile of CD4 T cells from patients with common variable immunodeficiency (CVID), including production of cytokines and proliferation in response to bacteria and virus-derived antigens. We show that the functional impairment of CD4 T cells, including the reduced capacity to proliferate and to produce IFN-Îł and IL-2, was restricted to bacteria-specific and not virus-specific CD4 T cells. High levels of endotoxins were found in the plasma of patients with CVID, suggesting that CD4 T cell dysfunction might be caused by bacterial translocation. Of note, endotoxemia was associated with significantly higher expression of programmed death 1 (PD-1) on CD4 T cells. The blockade of the PD-1-PD-L1/2 axis in vitro restored CD4 T cell proliferation capacity, thus indicating that PD-1 signaling negatively regulates CD4 T cell functions. Finally, we showed that intravenous immunoglobulin G (IVIG) treatment significantly reduced endotoxemia and the percentage of PD-1(+) CD4 T cells, and restored bacteria-specific CD4 T cell cytokine production and proliferation. In conclusion, the present study demonstrates that the CD4 T cell exhaustion and functional impairment observed in CVID patients is associated with bacterial translocation and that IVIG treatment resolves bacterial translocation and restores CD4 T cell functions

    Use of hRORalpha receptors for screening substances useful for the treatment of atherosclerosis

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    Patent apllication WO9950660 (A1)info:eu-repo/semantics/publishe

    Use of Rev-erb family of receptors in screening

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    Patent application EP1090292 (A1)info:eu-repo/semantics/publishe

    DiffĂ©rences entre ‘big pharmas’ et ‘biotechs’ – Qu’en disent leurs brevets ?

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    L’industrie pharmaceutique a connu au cours des deux derniĂšres dĂ©cennies une trĂšs forte Ă©volution. Outre une augmentation des accords entre grands laboratoires pharmaceutiques, elle a vu Ă©merger un ensemble de jeunes entreprises fondĂ©es sur des technologies de recherche innovantes, que l’on a tendance, de maniĂšre assez imprĂ©cise Ă  rassembler sous l’étiquette d’entreprises de biotechnologies. Le fonctionnement de ces derniĂšres entreprises nous semble ĂȘtre diffĂ©rent : fortes relations avec la science fondamentale, nombreux accords de coopĂ©ration entre start-ups et entre start-ups et laboratoires « traditionnels ». Il nous a donc semblĂ© intĂ©ressant de comparer les citations de brevets des principales entreprises des deux catĂ©gories. Quel en est le principe de cette mĂ©thode ? Chaque brevet comprend un certain nombre de citations destinĂ©es Ă  reflĂ©ter l’état de l’art au moment de sa publication, sur le mĂȘme modĂšle que les rĂ©fĂ©rences bibliographiques d’un article acadĂ©mique. Notre travail a consistĂ© Ă  analyser ces citations.Cette recherche s’est dĂ©roulĂ©e dans un esprit d’exploration des possibilitĂ©s et des limites de la mĂ©thode. Les points Ă  mesurer ont donc Ă©mergĂ© « chemin faisant ». L’échantillon est restĂ©, pour des raisons pratiques, relativement limitĂ© : 4 laboratoires que nous pouvons qualifier de « traditionnels » et 3 grandes entreprises de biotechnologies. Notre Ă©tude a permis de faire Ă©merger des diffĂ©rences entre ces deux types d’entreprises : - Les laboratoires pharmaceutiques citent des entreprises dont l’activitĂ© principale est la chimie plus abondamment que les « biotechs », ce qui semble indiquer qu’elles n’ont pas perdu leur ancrage dans ce secteur. - Les entreprises de biotechnologies conjuguent un nombre moyen de citations plus Ă©levĂ© et un moindre taux d’autocitation. Les deux indicateurs rĂ©unis peuvent indiquer une plus forte ouverture du processus de recherche de ces entreprises. - Les entreprises de biotechnologies citent davantage des brevets dĂ©posĂ©s par des universitĂ©s ou des institutions de recherche fondamentale, confirmant le rĂŽle des partenariats avec ce type d’organisations.Ces diffĂ©rences sont cohĂ©rentes avec ce que l’on pouvait attendre compte tenu de la littĂ©rature sur le sujet. Elles permettent d’alimenter la rĂ©flexion sur la maniĂšre dont les entreprises en place peuvent gĂ©rer une rĂ©volution technologique comme l’émergence des biotechnologies : dans quelle mesure intĂšgrent-elles les mĂ©thodes des nouveaux entrants (citation des entreprises de biotechnologies) ? Dans quelle mesure cela les conduit-elles Ă  s’éloigner de leur mĂ©tier d’origine (citations des entreprises de chimie) ? Tissent-elles le mĂȘme type de lien avec les organisations productrices de connaissances de nature fondamentale (citation des universitĂ©s et institutions de recherche) ?... Elles permettent Ă©galement d’alimenter les rĂ©flexions sur les apports potentiels et les limites d’une telle mĂ©thode d’investigation

    Le rĂŽle de la PI dans les relations entre laboratoires publics et industriels

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    S’il existe de nombreuses Ă©tudes ayant pour but d’évaluer les activitĂ©s de valorisation de la recherche dans les universitĂ©s et les organismes publics de recherche, il n’existait pas, Ă  notre connaissance, d’étude visant Ă  comprendre de maniĂšre approfondie le rĂŽle de la PI dans les relations entre ces derniers et les industriels. Ce rapport est fondĂ© sur 14 entretiens menĂ©s avec des responsables de structures de valorisation et dans les entreprises.La premiĂšre partie prĂ©sente le contexte dans lequel se dĂ©roulent ces partenariats, notamment en termes de PI. Les entreprises en attendent l’utilisation de compĂ©tences pointues pour explorer des voies qui se situent trop en amont pour pouvoir ĂȘtre prises en charge Ă  100% par leurs services de R&D.Le but principal du dĂ©pĂŽt de droits de PI, notamment de brevets, est de permettre aux industriels de rentabiliser les investissements importants qui restent Ă  rĂ©aliser pour transformer une invention issue d’un partenariat acadĂ©mique en innovation commercialisable. Bien sĂ»r, les organismes publics de recherche ont aussi pour ambition d’en tirer des revenus financiers, mais ce n’est pas le but qui est citĂ© en premier.Les structures de valorisation ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©es pour servir d’intermĂ©diaires entre le monde acadĂ©mique et le monde industriel. Elles exercent leur rĂŽle dans un systĂšme de contraintes assez fortes : pression sur les indicateurs de valorisation, lĂ©gitimitĂ© Ă  construire au sein de l’organisation, ressources limitĂ©es et difficultĂ©s Ă  Ă©quilibrer les budgets. La mutualisation des ressources pourrait constituer une solution mais elle est difficile Ă  mettre en Ɠuvre dans un contexte oĂč le poids des indicateurs conduit plutĂŽt Ă  la compĂ©tition.Les rĂ©sistances soulevĂ©es par la PI au sein des laboratoires publics semblent assez limitĂ©es et plutĂŽt en baisse. La « culture PI » n’y est pas encore trĂšs dĂ©veloppĂ©e mais l’attention croissante qui y est portĂ©e, les incitations financiĂšres individuelles (par ailleurs trĂšs critiquĂ©es pour leurs effets pervers) et parfois l’attrait pour la crĂ©ation d’entreprise conduisent Ă  une prise en compte croissante de ce type de problĂ©matique. Le dilemme publication / brevet peut quant-Ă -lui tout Ă  fait ĂȘtre surmontĂ© mĂȘme si cela nĂ©cessite une grande rĂ©activitĂ© de la part des structures de valorisation.La deuxiĂšme partie dĂ©taille davantage la nature des relations entre organismes publics de recherche et industriels, en commençant par les aspects contractuels. De ce point de vue, c’est la copropriĂ©tĂ© qui pose le plus de problĂšmes. La plupart de nos interlocuteurs semblent toutefois parvenir Ă  surmonter ces difficultĂ©s en Ă©tablissant un contrat laissant une grande libertĂ© Ă  l’industriel dans l’exploitation de ces droits. Une autre difficultĂ© est la dĂ©finition du niveau de royalties du fait des liens parfois indirects entre l’invention brevetĂ©e et un produit qui arrive souvent sur le marchĂ© longtemps aprĂšs.La satisfaction des industriels concernant les prestations elles-mĂȘmes est assez Ă©levĂ©e (en dĂ©pit de diffĂ©rences dans les façons de travailler pouvant donner lieu Ă  des incomprĂ©hensions). En revanche, les difficultĂ©s et les dĂ©lais de nĂ©gociation, notamment en matiĂšre de PI, sont souvent citĂ©s comme les principales limites de ces partenariats. Ces derniĂšres sont probablement rendues plus difficiles encore du fait de certaines reprĂ©sentations parfois vĂ©hiculĂ©es sur l’autre partie. Plusieurs indices nous conduisent toutefois Ă  penser que ces reprĂ©sentations parfois un peu tranchĂ©es tendent Ă  se nuancer au fil des collaborations rĂ©ussies

    Management Tools for RetD Project Portfolios in Complex Organizations – the case of an international pharmaceutical firm

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    Project Portfolio Management (PPM) is a growing issue in both professional and academic circles. The typology of Cooper et al. (1998) has pictured the variety of PPM formalized approaches into four types (financial, strategic, scoring and “bubble diagram”). While the use of formalized methods by top performers is clearly attested, the choice of a specific approach and the precise benefits and limits of different instruments are still in debate. The present paper formalizes more precise contingency hypotheses between PPM practices and organizational variables such as R&D strategy, the structure and history of a firm's development, partnership policy and learning track in the project domain. Where managerial implications are concerned, the paper puts forward an analytical framework for the adjustment of portfolio instruments to fit specific situations and develops the conclusions of that framework for an international pharmaceutical group, Merck Lipha. The research underlying this paper adopts an interactive and experimental case-based methodology which has been on-going since 1997
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